Poeme Amour
Mon seul et tendre amour de mon coeur
Oh mon amour,
mon seul et tendre amour de mon cœur,
celui qui a su puiser les perles d'amour sur mes lèvres,
celui qui a pénétré mon âme jusqu'au fin fond de mon cœur cristallisé.
Oh mon n'amour,
mon seul et tendre amour de mon cœur,
tu es l'être tendre des mes rêves mielleux de toutes douceurs,
tu es la vie dans mon cœur, tu es mon âme et mon corps en toute fois.
Oh mon n'amour,
mon seul et tendre amour de mon cœur,
l'amour conquérant d’une vie de passion et de plaisir d’allégresse
à la cruelle douceur de la rose volupté de satin rouge.
Oh mon n’amour,
mon seul et tendre amour de mon cœur,
à ces instants de dentelles aux plaisirs de chair
délicieux fruits d’aimer si ardemment d’amour et de sentiments.
Oh mon n’amour,
mon seul et tendre amour de mon cœur,
trois années mouvementés sur un champs de bataille,
au pré de la consolation et des tourments parsemé de baisés acharnés.
Oh mon Amour,
mon seul et tendre amour de mon cœur,
Que dire? Qu’écrire? Que des mots lâches qui se dicte si facilement
De la muse aux yeux azurs à la chaleur anesthésique,
Je t’envie, je te dédaigne, je te jalouse, je te désir, je t’aime.
J’embrasse ces mots couchés sur papier mentant mes sentiments.
Oh mon n’amour,
mon seul et tendre amour de mon cœur,
Mes sentiments sont si lourd, qu’il faut que je te les divulgue!
Je n’ais aucun plan, aucune stratégie, c’est une partie gagnée d’avance…
Je n’ais rien de vulgaire ou d’absurde surprit mes sentiments si tendre.
Je fantasme de mes mains contre tes lèvres, de tes yeux braqués contre mon corps.
Oh mon n’amour,
mon seul et tendre amour de mon cœur,
Je t’aime à la limite de l’insolence comme si ce mot ne serait pas assez.
Oh mon n’amour,
mon seul et tendre amour de mon cœur,
Je t’adore à en perdre mon dernier souffle et à en vouloir perdre mon chemin
Oh mon n’amour,
mon seul et tendre amour de mon cœur,
Sot et abasourdit que je suis, je fondrais pour toi,
Je glacerais le soleil si ma muse me le demandait
car cupidon au fesse nue m’a violé de sa flèche
empoisonné à la saveur de l'irrationnel
tel qu’est l’amour.
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