Ce soir la mort frappe à ma porte,
Mais je ne lui ouvre pas,
Elle me cherche,
Oh pourquoi?
Pourquoi ce soir,
Dans cette nuit froide,
Je tente désespérément,
De lui échapper.
Je la sens,
Je la vois,
Elle me touche,
Me tient la main.
Elle dit "maintenant tu dois parti",
Non! Oh non, je ne peux,
Je ne lui ai pas dis,
À la personne tant aimé.
Je ne lui ai pas dit que grâce à elle,
J’ai réussis,
Réussis à ne plus avoir peur,
Mais je dois lui dire.
Je n'ai pas peut de partir,
Je dois juste lui dire,
La vie est courte,
Il faut vivre au jour le jour.
Sans ce poser de questions,
Dire ce qu'on a à dire,
Faire ce qu'on a à faire,
Sans reculer.
La vie peut très vite pour vous aussi,
Faire venir la mort,
Alors n'hésiter pas,
N’ayez pas peur.
Mort, tu es venu à moi,
En cette journée de printemps,
Et j’écris ce poème pour vous faire savoir,
Que même si je dis n'avoir peur.
J’ai peur, peur de ne plus voir,
De ne plus entendre,
De ne plus toucher,
La personne aimé.
Peur d'être seule,
Car sans elle je ne suis rien,
Sans elle, la vie est triste,
Sans elle la mort n'est rien.
Rien ne peut me faire plus de mal,
Que de n'avoir pu lui dire,
Lui dire ces mots,
"Je t'aime encore ma sirène".
Même après des disputes,
Des coups pris et donnés,
Je ne peux me passer d'elle,
Dans ce poème je te l'ai dit.