Maintenant les jours s’effacent,
Comme les secondes passent
La douleur s’égare,
Quand la peine est sale
Ton sang est impur,
Ton âme mérite la torture
Je ne te craindrais pas
Pour ne pas te faire plaisir
Ta mort je la veux éternel
Quelle s’arrête jamais
Seul ma parole sera l’apaiser
Et te conforter
De ma haine envers-toi naîtra opulence
De nos blessures la croûte,
S’arrachera et viendra infester,
De son liquide purulent,
Chaque orifice qui ta constitué