Je regarde du haut de la falaise
Les vagues se fracasser contre les rochers
Je ne comprend plus mon malaise
Et voici où je suis arrivé...
La mort elle-même ne m’atteint pas ici
L’être noir que je suis...
Ne meurt qu’en lui-même
En récoltant l’amertume qu’il sème
La haine est tellement éphémère...
Lorsqu’elle n’est pas absolue...
Dans la contemplation de l’humain et de sa misère
Puis-je ne pas retrouver une partie de vécu ?
Rappel moi ce que je suis...
Rappel moi ce qu’est l’oubli...