Adieu Ferdinand, trois siècles tu auras connus,
Nos vies existent bien par ton engagement,
Outre ces années, tu étais toujours présent,
Servir tes enfants, par ta vie, tu l’as vécu,
Ames perdues, corps broyés, encore une fois merci,
Ne jamais renoncer et toujours espérer,
Ce destin tragique, vous sûres bien l’assumer,
Insultés, stigmatisés, combien de mépris,
Et cela, il vous fallut aussi l’endurer,
Nombreux furent ces crétins, qui, de leurs mots, certains,
Se seraient cachés plutôt que de s’engager.