il y a pas de mots pour montrer ma heine,
pleurer,
ça n'en vaut pas la peine.
le plus grand de mes bonheurs,
seraient que tu meurts.
quand je te vois,
quand tu t'approches de moi,
j'ai peur.
je veux me rebeller,
sur toi cracher,
mais la peur m'emporte.
je ne cache pas que le jour ou la mort frapera à ta porte,
je ne pourais cacher ma joie, de te savoir plus là!
en attendant ce moment avec impatiente,
je repenserais à mon enfance,
a tous ce que j'ai subit,
jusqu'à ce qu'enfin la mort t'envahi,
et t'emmène au plus loin.
oh!que tu me manqueras pas.
pour moi tu n'étais pas se que tu aurais du être,
un papa.
a ma fenêtre,
je repenserai à toi,
tu n'étais rien.
a part un gros crétin,
alcoolique, drogué
qui a crut que je t'aimais?
en regardant la mer,
je me dirais que pour moi t'étais qu'un salop
qui ne savait rien assumer.
le peut qu'on te demandait,
c'était que tu fasses ton boulot,
voilà ce qu'était ton rôle de père!
et même ça tu n'as pas su le faire!
qui a dit que je t'aimais?
surement pas moi!
je veux te voir partir,
partir le plus loin où le diable pourra t'emporter
c'est à dire loin de moi!
je veux t'oublier
et oublier la soufrance,
que j'ai supporté pendant quelques années de mon enfance
je veux oublier:
ta sal gueule
ta gueule de chouté
oubier:
ton nom
ton prénom
oublier chaque fois où l'on m'a vu pleurer
parce que tu devenais tarré!
chaque fois que j'ai souffert,
parce que ma vie devenait un enfer.
oublier tous ces instants,
quand on devient une femme après avoir été enfant.
je veux tirer un trait,
sur mon enfance un peut bouleverssée!