Lorsqu’au menu des jours tout semble devenu fade,
Que le vin est absent, que l’eau ne te désaltère plus,
Que l’appétit de vivre, la joie a disparu,
Que ton sourire n’est plus qu’une triste façade,
Il te faut le courage d’oser démasquer
Ce mal, traître et sournois, qui te piétine l’âme.
Combattre cette souffrance qui te ronge et t’accable,
Ce chagrin immense, cette peine profonde,
Qui a atteint ton cœur comme un coup de poignard
Il faut trouver en toi cette force de vaincre
Ce désespoir immense,
Essaie de comprendre
Pourquoi cet abandon.
Essaie d’oublier
La perfide trahison.
Et si tu le peux,
Essaie de pardonner
Alors, seulement alors,
Viendra ta délivrance.